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Revue de presse
« Héros convaincant, Howard Haskin a une voix imposante de ténor dramatique : un beau timbre, un volume certain, des aigus faciles. Haskin a été très persuasif dans les moments héroïques du premier acte ainsi que dans les moments pathétiques du troisième acte, chantant avec émotion l'air de la meule " Vois ma misère, hélas !". »
Lauro Machado Coelho, O Estado de São Paulo, sur Samson et Dalila, 19 septembre 2002
« L'étonnamment éloquent Howard Haskin... C'était une version hautement inspirée du Chant de la Terre, de Mahler. »
Dominique Dubreuil, Plumart N° 40, sur Le Chant de la Terre, avril 2002 (Article complet)
« Mais un spectacle d'opéra ne peut être réussi par la seule qualité de la mise en scène : c'est avant tout la distribution qui compte. On saluera en ce domaine un presque sans-faute, et ce malgré l'annulation de Jon Villars (Bacchus), remplacé avec beaucoup de vaillance et de présence par le ténor Howard Haskin. »
Renaud Machart, Le Monde, sur Ariane à Naxos, 8 mars 2002 (Article complet)
« Jamais cet imbroglio théâtral et ce capharnaüm musical ne furent si limpides ! ...Rien de tout cela ne réussirait sans la complicité des interprètes. ...Et le ténor Howard Haskin qui a le mérite de sauver la soirée en remplaçant Jon Villars dans Bacchus. »
Jacques Doucelin, Le Figaro, sur Ariane à Naxos, 1 mars 2002
« On attendait le Bacchus de Jon Villars. C'est finalement Howard Haskin qui l'a remplacé au pied levé avec courage. Le ténor, qui compte quarante-cinq rôles à son répertoire, soutient sans faiblir l'effarante tessiture de Bacchus. »
Jean-Louis Dutronc, Opéra International, sur Ariane à Naxos, avril 2002
« Une distribution hors pair... Christine Brewer (Ariane) déploie les longues phrases d'une voix pleine, chaleureuse et sonore, idéalement appariée au ténor sombre de Howard Haskin, Bacchus libérateur.»
Michel Parouty, Les Echos, sur Ariane à Naxos, 26 février 2002
« Le brio d'un plateau homogène... Le ténor Howard Haskin remplace avec les honneurs Jon Villars, souffrant, dans le rôle de Bacchus.»
Jean-Luc Macia, La Croix, sur Ariane à Naxos, 5 mars 2002
« La soprano lyrique américaine Alessandra Marc a revêtu une voix de diva puissante et extraordinaire pour ce rôle. M. Haskin lui a répliqué en un spectacle solo plein d'autorité. »
Brain Wise, Sonicnet.com, sur le gala d'anniversaire de Theodorakis, 24 octobre 2000 (Article complet)
« Lorsqu'il interprète Haemon, le ténor Howard Haskin donne des interludes puissants et plaintifs. »
Arthur Kaptainis, Montreal Gazette, sur le gala d'anniversaire de Theodorakis, 24 octobre 2000 (Article complet)
N'oubliez pas de visiter le site Web dédié à Mikis Theodorakis pour plus d'information.
« Howard Haskin, dans le rôle-titre, nous a charmés par sa voix de ténor aux reflets d'acier. »
Arthur Kaptainis, Montreal Gazette, sur dipe Roi, 17 mai 2000
« Des solistes (dont) Howard Haskin se sont joints au chur et à l'orchestre pour nous offrir une représentation très profonde de l'oratorio signé par Tippett en 1944. La représentation fut magnifique et les solistes passionnés. »
Kansas City Star, sur Child of Our Time, 15 novembre 1999
« Howard Haskin a incarné le rôle de l'Inquisiteur en deployant son ténor ardent. »
Bernard Holland, The New York Times, sur Le Prisonnier,19 octobre 1999
« Howard Haskin, le Cavaradossi, a chanté en donnant son entière mesure... »
Andrew Porter, Opera, sur la Tosca, avril 1999
« Point d'orgue de la soirée : la prestation du ténor américain Howard Haskin. Il était accompagné de l'Ensemble Scharoun de Berlin dans sept morceaux, d'une durée totale supérieure à trente minutes, pour une résolution des dissonances fluide et limpide. Haskin a relevé tous ces défis vocaux avec conviction. »
Kölnische Rundschau, sur la Kammermusik 1958 de Henze, 10 novembre 1998
« Les musiciens de la MusikFabrik, la mezzo-soprano danoise Marianne Røhrholm et le ténor américain Howard Haskin nous ont offert une interprétation exceptionnelle. »
Liesel Markowski, Neues Deutschland, sur Voices de Henze, 11 mars 1997
« Lorsqu'il a interprété Sportin' Life, Howard Haskin tenait chacun d'entre nous dans le creux de sa main. »
John Ardoin, Dallas Morning News, sur Porgy and Bess, 15 juin 1998
« Cette interprétation enregistrée en direct, une version explosive dirigée par Esa-Pekka Salonen, dissipe définitivement les doutes quant à la valeur extraordinaire de l'uvre de Luigi Dallapiccola. Phyllis Bryn-Julson, Jorma Hynninen et Howard Haskin possèdent la tessiture et les capacités pour donner vie à cette composition volcanique. Ils y mettent l'intensité nécessaire pour atteindre les sommets du génie. »
Reinhard J. Brembeck, FonoForum (Allemagne), sur l'enregistrement du Prisonnier, février 1996
«
forme un duo prenant avec le Geôlier, Howard Haskin, à l'étonnante tessiture. »
Claude Glayman, Opéra International, sur l'enregistrement du Prisonnier, janvier 1996
« La distribution est parfaite à tous points de vue, tant dramatique que vocal
. Howard Haskin interprète le double rôle du Geôlier et du Grand Inquisiteur avec une vénalité policée digne d'un Kim Philby. »
Benjamin Pernick, Fanfare, sur l'enregistrement du Prisonnier, 26 mars 1996
« Mais la vedette a été intégralement volée par Howard Haskin, qui a interprété un Sportin' Life gigantesque, tonitruant, tourbillonnant et fort émouvant. Ce type imperturbable, génial et plein de ressources a fait un tabac avec son sensationnel 'It Ain't Necessarily So' qui a même reçu l'acclamation de l'orchestre. »
Michael Tumalty, The Glasgow Herald, sur Porgy and Bess, 19 février 1996
« Cependant, ce fut Howard Haskin qui cassa la baraque lorsqu'il interpréta 'It Ain't Necessarily So' à sa manière hilarante et sans retenue
»
George Wilson, Scottsman, sur Porgy and Bess, 19 février 1996
« Howard Haskin a merveilleusement ouvert l'opéra en interprétant un scribe à la voix de ténor puissante, et non pas à la manière d'un ténor de bas étage ou d'un Mime manqué. »
Time Out, sur Khovanshchina, 7 décembre 1994
« Les chanteurs ont été excellents, mais aucun n'a égalé Howard Haskin qui a interprété et Abbott et le Tentateur. Son préambule, prononcé depuis l'arrière de la salle pour donner de la puissance à l'action, a presque fait sauter au plafond plusieurs personnes du public. »
Stephen Pettitt, The Times of London, sur Le Fils prodigue, 1er novembre 1994
« S'il y eut une star de la soirée, ce fut Howard Haskin dans le Tentateur. Grâce à sa voix puissante de grand ténor, capable de communiquer toutes sortes de sentiments, ferme dans toute sa tessiture et aussi éloignée des performances de Peter Pears que cela est possible, M. Haskin a interprété un Tentateur diaboliquement et réellement grandiose. »
Stephen Johnson, The Independent, sur Le Fils prodigue, 14 juin 1994
« Le spectacle a été dominé par Howard Haskin dans le rôle du Tentateur. »
Richard Fairman, Financial Times, sur Le Fils prodigue, 24 juin 1994
« ...ce fut une interprétation passionnée et charnelle d'une uvre difficile par le ténor à la voix pleine et puissante Howard Haskin qui a incarné le double rôle d'Abbott et du Tentateur jadis tenu par Peter Pears. »
Edward Greenfield, The Guardian, sur Le Fils prodigue, 27 juin 1994
« ...le Tentateur remarquablement éloquent de Howard Haskin
»
Gerald Larner, The Times of London, sur Le Fils prodigue, 15 juin 1994
« ...dominé par Howard Haskin, dont l'impact dramatique de son Tentateur a balayé les anciennes critiques selon lesquelles cette pièce manquait singulièrement de tentations, le mélange de douceur miellée et de force déclamatoire proposé par Haskin est difficile à égaler. »
Michael White, The Independent on Sunday, sur Le Fils prodigue, 26 juin 1994
« Le ténor soliste prévu ayant annulé, le quartet de solo annoncé a été modifié. Howard Haskin, qui semble être un chanteur taillé pour réaliser des exploits, a admirablement rempli les devoirs d'un ténor digne de ce nom. »
Los Angeles Times, sur la Neuvième Symphonie de Beethoven, septembre 1993
« Le Chant de Mahler a été une expérience riche pour les auditeurs. Le chef d'orchestre Ivan Fischer s'est trouvé des partenaires de choix avec la mezzo-soprano israélienne Mira Zakai et le ténor Noir américain Howard Haskin. Tous deux possèdent la voix, la technique et le sens de la musique nécessaires afin de respecter à la lettre le style du dernier opus du maître... La perfection et le réalisme de leur interprétation ont crée une atmosphère d'euphorie. »
Magyar Hírlap (Budapest), sur Le Chant de la Terre, septembre 1993
« Haskin possède une vitalité intrinsèque. Sa voix puissante est sans limite, confiante, plaisante à l'oreille. Elle n'a rien de guttural. Sa couleur et son vibrato sont d'une qualité rappelant la maestria italienne. Elles s'accompagnent d'une technique superbe et équilibrée. »
Uj Magyarshak (Budapest), sur Le Chant de la Terre, septembre 1993
« Le Chant de Mahler a été un moment décisif pour l'orchestre. Les solistes ont été sensationnels du début à la fin, traduisant aussi bien la joie que la mort, puisque tous les instants de la pièce ont été interprétés à la perfection. Un spectacle magnifique... Haskin possède une voix de ténor puissante, ouverte et naturelle. Il est de surcroît un acteur fabuleux. »
Magyar Nép (Budapest), sur Le Chant de la Terre, septembre 1993
« De la même manière, le chant puissant et vif du surprenant Howard Haskin a peut-être outrepassé les limites de cette version de Schoenberg pour ensemble de chambre, mais il a porté jusqu'à la perfection le caractère dionysiaque-bachique de la composition de Mahler. »
Albrecht Goebel, Frankfurter Allgemeine Zeitung, sur Le Chant de la Terre, 15 septembre 1993
« La joie de chanter se lisait sur le visage et dans la voix du ténor américain polymorphe Howard Haskin. Son cur semblait également gonflé à bloc. »
Brigitte Pinder, Frankfurter Neue Presse, sur Le Chant de la Terre, 15 septembre 1993
«
alors que le ténor américain Howard Haskin (Armand) domine l'enregistrement par sa voix riche en harmoniques et son français impeccable
Un compact à acquérir sans tarder. »
Jean-Louis Dutronc, Diapason, sur l'enregistrement de Thérèse, mars 1993
« Howard Haskin a fait du personnage de Vova un être à la fois irrésistible et horrifiant. »
Harlow Robinson, Opera News, sur l'enregistrement de La Vie avec un idiot de Schnittke, juillet 1993
« L'avidité, l'inconstinence, le viol et le meurtre, tous ces ingrédients sont présents dans le répertoire (de Vova), et Howard Haskin a atteint des sommets dans l'expression des nuances grâce à ses innombrables variantes de la monosyllabe ' Ekh ! ' à mesure que l'opéra se déroule. »
Gramophone, sur l'enregistrement de La Vie avec un idiot, avril 1993
« L'idiot qui se contentait de dire 'ouh ouh' dans la nouvelle originale vocalise avec une certaine virtuosité sur scène, et Howard Haskin, en sus d'impressionnants talents d'acteur, s'acquitte fort bien de ce rôle délicat. »
François Jongen, La Libre Belgique, sur La Vie avec un idiot, 18 avril 1992
« Et l'on s'est pris à penser que la voix de ténor veloutée de Howard Haskin, qui fréquente régulièrement le Netherlands Opera, méritait mieux au niveau de l'expression des émotions que les ' Ech ' monosyllabiques de Vova. »
Mark Fuller, The Times of London, sur La Vie avec un idiot, 17 avril 1992
« Howard Haskin en Vova n'a eu aucun problème à apprendre son texte, mais cette incroyable tessiture vocale et cette grande variété de couleurs nécessitaient une extrême maîtrise dans le chant. »
Andrew Stewart, Opera Now, sur La Vie avec un Idiot, juin 1992
« Vova est non seulement une caricature de Lénine, mais également du fou sacré Russe, ' d'inspiration nationale dans la forme et le contenu ', que 'I' espérais trouver. Avec son unique syllabe mais pléthore de styles histrioniques, Vova parodie aussi le chanteur d'opéra et le caractère incompréhensible de ses mots que nous acceptons les yeux fermés. Habilement interprété par Haskin, le personnage se trouve au centre de quelque farce tragique, une sorte de délire théâtral post-glasnost rappelant les frayeurs d'avant cette époque. »
Paul Driver, The Sunday Times, sur La Vie avec un idiot, 19 avril 1992
«
Haskin a donné plus de caractère au rôle. Il a chanté davantage avec le cur d'un chanteur d'opéra et son interprétation nous a liés plus intimement et plus profondément avec le drame théâtral
»
Franz Straatman, Trouw (Amsterdam), sur Orphée et Euridice, 24 janvier 1990
« Le ténor américain Howard Haskin a excellé dans le rôle de Wilhelm avec sa diction française authentique et sa voix puissante et souple. »
Kasper Jansen, NRC Handelsblad (Pays-Bas), sur Mignon, 6 décembre 1988
« Les solistes ont été le clou du spectacle, en particulier le ténor venu de France, Howard Haskin. Son chant incroyablement expressif et cultivé mérite notre entière admiration. Ses récitatifs et ses arias ont tous été de pure beauté. »
Esther Reuter, The Jerusalem Post, sur la deuxième symphonie de Mendelssohn « Lobgesang », 1er juillet 1988
« Un autre nom à retenir, celui de Howard Haskin dans Sportin' Life. Il a non seulement conquis Bess mais également la salle toute entière grâce à l'éloquence de son expression. Le public n'avait plus assez de voix ni de mains pour exprimer son émerveillement lorsqu'il a applaudi la représentation. »
Franz Straatman, Trouw (Amsterdam), sur Porgy and Bess, 5 octobre 1987
« Bien au-dessus de tous, on retrouve Howard Haskin dans Don José, un rôle qu'il a su incarner avec intelligence... »
Opera, sur Carmen, novembre 1986
« La voix de ténor de Howard Haskin, pleine de sonorité et de lustre, ainsi que son jeu confiant et coulant furent de grands atouts lors de cet événement que fut son premier récital à Londres
Sa diction russe et italienne ainsi que son allure dramatique extravertie (que les habitués connaissent déjà) furent ici déployées pour produire de superbes effets
Les amateurs de vocalises auront apprécié ses excellents ré bémol, intégrés à une ligne vocale qui évolue sans déformation ni exagération. Chaque morceau a été minutieusement façonné avec des changements de rythme et d'ambiance choisis avec soin et des pointes dramatiques placées de manière stratégique. »
Meirion Bowen, The Guardian, sur le récital de Wigmore Hall, 10 septembre 1985
« Outre une tessiture large et étonnante, le timbre de voix est toujours chatoyant, légèrement teinté mais plein et viril. Il utilise sa voix avec goût et bon sens. Même s'il préfère sans doute par-dessus tout monter dans les aigus, il est suffisamment bon musicien pour donner à une musique moins spectaculaire tout le sérieux qu'elle mérite. »
David Murray, Financial Times, sur le récital de Wigmore Hall, 11 septembre 1985
« Un joli disque de mélodies, servies par une voix d'une belle musicalité. Il a, en outre, le mérite de proposer, en première mondiale, la Cantate de Carter. A retenir. »
Sergio Segalini, Opéra International, sur le disque "Howard Haskin - Ténor", February 1987
« On devra accorder une mention spéciale à
et surtout Howard Haskin, remplaçant au pied levé Robin Leggate, Pâris fringant et juvénile, à qui le public réserva sa préférence. »
Alexis Chrysstostalis, Opéra International, sur Le Roi Priam, octobre 1985
« ...la vedette a presque été volée par Howard Haskin, qui est intervenu sur le tard
en interprétant un Paris mature, chantant et jouant avec un style prodigieux. »
Paul Driver, Financial Times, sur Le Roi Priam, 23 juillet 1985
« La distribution artistique est, pour le Kent Opera, admirable. Howard Haskin est saisissant dans le rôle du noir Pâris. »
Tom Sutcliffe, The Guardian, sur Le Roi Priam, 2 octobre 1984
« Howard Haskin incarne un Pâris vif et élégant. »
David Cairns, The Sunday Times, sur Le Roi Priam, 30 septembre 1984
« Le fait que cette approche permette à l'héroïque Howard Haskin d'interpréter un Pâris noir sans incongruité témoigne de son degré d'implication. »
Financial Times, sur Le Roi Priam, 2 octobre 1984
« Howard Haskin était un Jason très crédible. »
Gérard Condé, Le Monde, sur Médée (Lyon), juillet 1984
« Du point de vue de l'élocution française, c'est le personnage de Jason, interprété par Howard Haskin, qui a démontré des possibilités réellement inattendues et, si Haskin est un rien effilé pour incarner le héros de l'Argos, c'est une faute pardonnable à un ténor d'opéra, surtout lorsque l'interprétation est aussi chaleureuse que la sienne. »
Max Loppert, Financial Times, sur Médée (Buxton), juillet 1984
« Le Jason d'Howard Haskin a opposé un ténor de valeur à Miss Plowright lors de leur admirable confrontation du premier acte. »
Michael Kennedy, The Daily Telegraph, sur Médée (Buxton), juillet 1984
« Notre pitié était cependant en grande partie destinée au malheureux Jason, particulièrement lorsque celui-ci est rendu aussi sympathique et éloquent par ce jeune chanteur Noir, Howard Haskin. »
Peter Palmer, Manchester Evening News, sur Médée (Buxton), 30 juillet 1984
« Son Jason, Howard Haskin, jeune ténor noir américain, fut un admirable partenaire, héroïque et enflammé. »
Charles Pitt, Opéra International, sur Médée (Buxton), octobre 1984
« Howard Haskin a été exceptionnel dans le rôle de Christus. Ce doux ténor lyrique a révélé à la fois une grande puissance et une douceur qu'il a merveilleusement su utiliser. Il a mêlé intelligence musicale et subtilité dans la gamme des couleurs en jouant son rôle avec une dignité profonde. »
Mary McGoris, Irish Independent, sur Le Christ au mont des Oliviers, 28 mai 1983
« Elaine Padmore a fourni au sud-est de l'Irlande un trio de chanteurs, un Américain, un Russe et un Allemand que tout opéra de taille raisonnable serait heureux de présenter sur ses programmes... Le style bouffe tout en maturité de (Günther) von Kannen forme un contraste magnifique avec la voix de baryton héroïque de Sergei Leiferkus... Le troisième homme du trio, Howard Haskin, semble être le plus prometteur de tous : ce jeune ténor Noir à la voix claire et limpide maîtrise Massenet, comme il l'a montré lors du premier air d'Alain. »
John Higgins, The Times of London, sur Grisélidis, 25 octobre 1982
« Rien ne vaut de débuter un opéra avec un ténor talentueux. C'est le cas ici où Howard Haskin a su parfaitement transmettre les intentions du compositeur. Sa voix est comme du miel liquide, suavement dorée dans le désir, richement ensoleillée dans les moments d'intensité. »
Mary MacGoris, Irish Independent, sur Grisélidis, 23 octobre 1982
« Le ténor lyrique américain Howard Haskin, pourtant une autre nouvelle recrue, a donné un excellent départ à la pièce en interprétant le magnifique air d'Alain, paysan et soupirant fidèle de Grisélidis. »
Opera, sur Grisélidis, janvier 1983
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M. Haskin dans le rôle de Jason avec
Rosalind Plowright dans Médée.
Howard Haskin dans Vova pour la
première mondiale de La Vie avec un Idiot de Schnittke.
M. Haskin dans le rôle de
Grigory/Dmitri dans Boris Godounov.
Scribe dans Khovanshchina de Mussorgsky.
Charles Dutoit et Howard Haskin
dans les coulisses du NHK Hall de Tokyo.
Howard Haskin avec Pierre-Alain
Volondat répétant pour un récital à l'Opéra Comique de Paris.
Howard Haskin, Petr Migounov,
Alessandra Marc et Mikis Theodorakis
dans les coulisses de l'Avery Fisher Hall.
M. Haskin avec le chef d'orchestre
Ivan Fischer au Teatro Comunale di Ferrara.
M. Haskin dans le rôle de Peter Grimes.
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